Actualités

Read time: 0 mins
L’Anses désignée Laboratoire de référence de l’OIE pour la fièvre aphteuse
Fièvre Aphteuse
17/06/2015
Actualités

L’Anses désignée Laboratoire de référence de l’OIE pour la fièvre aphteuse

Le 3 juin dernier, l’Anses a été désignée Laboratoire de référence de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) pour la fièvre aphteuse, affection majeure qui nécessite une attention accrue des autorités sanitaires au vu des pertes directes qu’elle peut induire. Les Laboratoires de référence de l'OIE sont nommés pour suivre toutes les problématiques scientifiques et techniques relatives à une maladie ou un sujet spécifique. L’obtention de ce 17 ème mandat de référence international constitue pour l’Agence une reconnaissance de la qualité de son travail et de son engagement en matière de santé animale.
Exposition des enfants aux radiofréquences : l’Anses lance une consultation publique
Radiofréquences
09/06/2015
Actualités

Exposition des enfants aux radiofréquences : l’Anses lance une consultation publique

L’Anses met aujourd’hui en consultation publique son rapport pré-définitif sur l’évaluation des risques sanitaires pour les enfants liés à l’exposition aux radiofréquences. Membres de la communauté scientifique et parties prenantes intéressées sont ainsi invités à formuler leurs observations sur ce rapport par le biais d'une consultation publique en ligne, ouverte jusqu’au 21 Août 2015. L’objectif est de recueillir des données et commentaires scientifiques complémentaires qui pourront être pris en compte dans la version finale du rapport d’expertise.
Etiquetage nutritionnel : l’Anses évalue la faisabilité de la mise en œuvre du score de Rayner
Etiquettage
01/06/2015
Actualités

Etiquetage nutritionnel : l’Anses évalue la faisabilité de la mise en œuvre du score de Rayner

À la demande de la Ministre des affaires sociales et de la santé, le Professeur Hercberg a remis en janvier 2014 un rapport dont l’une des préconisations est la mise en place au niveau national d’un système d’information nutritionnelle, basé sur le système score dit de Rayner, développé pour la Food Standards Agency au Royaume-Uni. Ce système d’information vise à mettre à disposition des consommateurs des informations leur permettant de discriminer les produits alimentaires selon leur qualité nutritionnelle. L’Anses a été saisie par la Direction Générale de la Santé (DGS) pour évaluer la faisabilité technique du déploiement de l’outil proposé. Dans son rapport publié ce jour, l’Anses conclut que la mise en œuvre du score nutritionnel, tel que défini par Rayner et al. (2005), apparaît techniquement faisable mais nécessiterait d’être complétée par d’autres données que celles dont l’étiquetage deviendra obligatoire en décembre 2016 dans le cadre de la réglementation européenne. L’Anses indique de plus que ce score nutritionnel apparaît discriminant pour bon nombre de groupes d’aliments mais l’est insuffisamment pour d’autres (boissons rafraichissantes sans alcool, matières grasses, fromages, compotes, chocolats et produits chocolatés,…). Enfin, l’Agence souligne que son travail n’a pas visé à apprécier la pertinence de l’utilisation de cet outil en matière d’étiquetage nutritionnel, sa capacité à informer le consommateur, ou à induire des évolutions de comportements ou de l’offre alimentaire, et ainsi sa pertinence globale en matière de santé publique.
Consultation publique du 12 mai au 5 juin sur des propositions de lignes directrices pour la délivrance par l’Anses des autorisations de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques, des matières fertilisantes et supports de culture et des adjuvants
12/05/2015
Actualités

Consultation publique du 12 mai au 5 juin sur des propositions de lignes directrices pour la délivrance par l’Anses des autorisations de mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques, des matières fertilisantes et supports de culture et des adjuvants

Dans le cadre de la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt du 13 octobre 2014, l’Anses se verra confier très prochainement une nouvelle mission, jusqu’alors du ressort du ministère chargé de l’Agriculture : la délivrance des autorisations de mise sur le marché (AMM) des produits phytopharmaceutiques, des matières fertilisantes, supports de culture et des adjuvants. Dans un objectif de transparence sur les critères amenant à l’autorisation ou non des produits concernés, l’Agence a établi une proposition de lignes directrices pour l’instruction des décisions relatives aux autorisations de mise sur le marché. L’Agence soumet ce jour ces propositions à consultation publique, et ce jusqu’au 5 juin, afin de recueillir les commentaires du public qui seront examinés avant validation et publication de ces lignes directrices.
Réutilisation des eaux grises pour des usages domestiques : une pratique à encadrer
Lavage Main
29/04/2015
Actualités

Réutilisation des eaux grises pour des usages domestiques : une pratique à encadrer

Dans un contexte de développement durable visant notamment à épargner la ressource et économiser l’eau, la réutilisation des eaux grises est souvent évoquée. L’utilisation des eaux grises traitées, qui consiste à récupérer et à collecter les eaux provenant des douches, baignoires, lavabos, lave-linge, et éventuellement de la cuisine, puis à les utiliser après traitement, n’est pas autorisée en France pour des usages domestiques. En 2011, la Direction générale de la santé a saisi l’Anses afin qu’elle évalue les risques sanitaires potentiels liés à la réutilisation des eaux grises pour des usages domestiques. Dans les avis et rapport qu’elle publie ce jour, l’Agence estime que la pratique de réutilisation des eaux grises dans l’habitat doit être encadrée, et ne doit être envisagée que pour des usages strictement limités, dans des environnements géographiques affectés durablement et de façon répétée par des pénuries d’eau. Par ailleurs, la population (résidents, utilisateurs occasionnels, professionnels) doit être informée et formée aux conditions d’utilisations nécessaires pour minimiser les risques associés à la présence d’un réseau d’eau non potable dans le bâtiment.
Consommation d’insectes : état des lieux des dangers potentiels et des besoins de recherche
Consommation Insectes
09/04/2015
Actualités

Consommation d’insectes : état des lieux des dangers potentiels et des besoins de recherche

La consommation d’insectes, ou entomophagie, est une pratique très répandue dans certaines parties du monde (Afrique, Asie, Amérique latine), où elle peut faire partie de la culture alimentaire traditionnelle. Pour relever le défi de nourrir la planète en 2030, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s’est prononcée en faveur du développement de l’élevage d’insectes à grande échelle. Dans la perspective d’un possible développement de ces produits en Europe ou en France, l’Anses a réalisé un état des lieux des connaissances scientifiques sur les risques liés à la consommation d’insectes. Dans l’avis qu’elle publie ce jour, elle fait l’inventaire des dangers potentiels véhiculés par les insectes et des besoins de recherche sur cette question. A l’issue de ce travail, elle recommande notamment d’établir au niveau communautaire des listes des différentes espèces pouvant être consommées et de définir un encadrement spécifique des conditions d’élevage et de production des insectes et de leurs produits, permettant de garantir la maîtrise des risques sanitaires. Par ailleurs, les insectes et de nombreux arthropodes (acariens, crustacés, mollusques, etc .) possédant des allergènes communs, l’Anses recommande la prudence aux consommateurs présentant des prédispositions aux allergies.
Un site internet dédié aux travaux européens sur les seuils sanitaires pour les émissions de substances chimiques à partir de produits de consommation
Substances Chimiques
01/04/2015
Actualités

Un site internet dédié aux travaux européens sur les seuils sanitaires pour les émissions de substances chimiques à partir de produits de consommation

Matériaux de construction, meubles, ou encore produits de décoration, peuvent être sources de pollution des environnements intérieurs du fait de substances chimiques potentiellement nocives qu’ils peuvent émettre. Plusieurs pays européens, dont la France, ont élaboré des protocoles et des concentrations limites d’intérêt (CLI) dans le but de qualifier les émissions de composés organiques volatils (COV) issues de certains de ces produits de consommation. Les CLI ont pour objectif de prévenir la survenue d’effets sanitaires lors d’une exposition à long terme à des émissions de produits de consommation. En collaboration avec d’autres organismes et parties prenantes européens, l’Anses a participé au niveau européen à un travail d’harmonisation de ces protocoles et CLI. Ces travaux européens, initiés en 2011, sont à présent largement accessibles grâce à l’ouverture d’un site internet dédié : eu-lci.org .
L’ECHA lance une consultation publique relative à la substitution de la substance active biocide PHMB
19/03/2015
Actualités

L’ECHA lance une consultation publique relative à la substitution de la substance active biocide PHMB

Le 9 février 2015, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a lancé, sur son site internet, une consultation publique relative à la substitution de la substance active biocide PHMB, utilisée principalement comme désinfectant et conservateur. Cette consultation fait suite à l’évaluation réalisée par l’Anses de cette substance, considérée comme très persistante (vP) et toxique (T), deux conditions amenant à la considérer comme candidate à la substitution, en accord avec l’Article 10 du Règlement (UE) 528/2012 relatif à la mise à disposition sur le marché et l’utilisation des produits biocides. La consultation publique, ouverte jusqu’au 10 avril 2015, a pour objectif de recueillir des informations pertinentes sur cette substance, notamment sur les substituts disponibles.
L’Anses et l’INRS renforcent leur partenariat en signant une convention cadre pour une durée de 4 ans
17/03/2015
Actualités

L’Anses et l’INRS renforcent leur partenariat en signant une convention cadre pour une durée de 4 ans

Le 4 mars 2015, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail (Anses) et l’ Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) ont signé une convention cadre pour renforcer les liens établis depuis plusieurs années, au service de l’évaluation et de la prévention des risques professionnels. Les principaux axes de coopération concernent le soutien des experts et laboratoires de l’INRS aux comités d’experts spécialisés gérés par l’Anses et dédiés à l’évaluation de risque (VLEP, substances chimiques, REACH & CLP, nanoparticules) et la production de connaissances sur les expositions professionnelles.

Pages