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« Pourquoi la tuberculose bovine persiste dans certaines régions françaises et pas dans d’autres ? » - Portait du doctorant Ciriac Charles
04/11/2021

« Pourquoi la tuberculose bovine persiste dans certaines régions françaises et pas dans d’autres ? » - Portait du doctorant Ciriac Charles

Chaque année, l’Anses organise des journées d’échanges sur des travaux de recherche en cours ou récemment terminés, afin d’encourager les interactions entre les équipes scientifiques. À cette occasion, les doctorants accueillis à l’Agence présentent leurs thèses. Ciriac Charles a obtenu le prix du meilleur poster 2021 des doctorants de l’Anses. Découvrez son parcours et ses recherches.
« Comment diminuer l’exposition au mercure via la consommation des poissons ? » - Portrait de la doctorante Mariana Mendes Ribeiro
29/10/2021

« Comment diminuer l’exposition au mercure via la consommation des poissons ? » - Portrait de la doctorante Mariana Mendes Ribeiro

Chaque année, l’Anses organise des journées d’échange sur des travaux de recherche en cours ou récemment terminés, afin d’encourager les interactions entre les équipes scientifiques. À cette occasion, les doctorants accueillis à l’Agence présentent leurs thèses. Mariana Mendes Ribeiro a obtenu le prix de la « meilleure communication orale 2021 des doctorants de l’Anses », pour la présentation de sa thèse en 180 secondes. Découvrez son parcours et ses recherches.
Rencontre scientifique Exposome
21/10/2021

Mardi, 30 Novembre, 2021

Rencontre scientifique Exposome

189 rue de Bercy - Paris 12e
Public : oui
Maison de la RATP
Le concept d’exposome est né de la nécessité de mieux comprendre l’influence sur la santé de toutes les expositions auxquelles est soumis un individu pendant sa vie entière , en prenant en compte les expositions environnementales aux agents chimiques, physiques, biologiques et les facteurs socio-économiques. Les enjeux de la recherche aujourd’hui sont de caractériser les différentes facettes de l’exposome, d’en caractériser l’effet sur la survenue de maladies humaines, notamment des maladies chroniques telles que les cancers, les maladies neurodégénératives ou encore endocriniennes, et d’étudier les éventuelles interactions entre les composants de l’exposome, ou entre l’exposome et les paramètres biologiques. Enfin, il est important à terme de réussir à estimer l’impact global de l’exposome sur la santé , et si possible de hiérarchiser l’impact de différents facteurs de risque. Cette nécessité est aujourd’hui reconnue par les scientifiques et la société et s’intègre peu à peu aux politiques publiques. Mieux connaître l’exposome est l’un des objectifs du 4e plan national santé environnement et le concept est inscrit dans le Code de la santé publique. Des questions se posent toutefois encore sur les outils à promouvoir, les approches méthodologiques à mettre en œuvre, afin que l’exposome prenne toute sa place dans les différents champs de l’expertise en santé publique et in fine de la gestion des risques. Retour sur l'évènement Pour faire le point sur les avancées de la recherche sur le concept d'exposome, l’Anses et l’Inserm a organisé le 30 novembre une rencontre scientifique « Exposome et santé publique : de la recherche à l’expertise » à la Maison de la RATP. Destinée à la communauté scientifique, aux acteurs associatifs et professionnels et aux décideurs publics, plus de 320 personnes ont participé à cette rencontre scientifique riche d'enseignements. Vous souhaitez revivre cette rencontre ? > Accédez dès à présent aux replays sur notre chaîne Youtube > Consultez les présentations des intervenants Pour aller plus loin Atteintes cardio-vasculaires, cancer, diabète... chaque année, plus de 70 % des décès dans le monde sont dus à une maladie chronique. Elles sont liées à une combinaison de différents facteurs de risque, génétiques ou non, auxquels nous sommes soumis au cours de notre vie. L’exposome propose une analyse des facteurs non génétiques en étudiant l’ensemble des expositions que subit un être humain de par son environnement et tout au long de sa vie. Dans une interview croisée , trois scientifiques reviennent sur ce concept et les actions de l’Anses. > Lire l'interview
Lancement de PestiRiv : Une étude inédite sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole
19/10/2021
Actualités

Lancement de PestiRiv : Une étude inédite sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole

En France, une partie importante de la population rurale vit dans des régions viticoles. Ces personnes sont-elles particulièrement exposées aux produits utilisés pour les traitements phytopharmaceutiques et, si oui, comment ? Pour répondre à ces questions, Santé publique France et l’Anses lancent ce jour PestiRiv, première étude de grande ampleur visant à mieux connaître et comprendre l’exposition aux pesticides des personnes vivant près de cultures viticoles. Les mesures réalisées auprès de 3 350 personnes dans 6 régions françaises permettront d’identifier de manière objective les sources qui contribuent le plus à l’exposition aux pesticides et d’adapter les mesures de prévention.
Trois questions à Ohri Yamada sur la phytopharmacovigilance
06/05/2024
Actualités

Trois questions à Ohri Yamada sur la phytopharmacovigilance

Dispositif propre à la France, la phytopharmacovigilance se focalise sur les effets des produits phytopharmaceutiques et de leurs résidus, observés dans leurs conditions réelles d’utilisation. Présentation de ce dispositif avec Ohri Yamada, chef de l’unité phytopharmacovigilance.
Un protocole d’accord sur la santé animale et les maladies transmissibles à l’Homme  
13/10/2021

Un protocole d’accord sur la santé animale et les maladies transmissibles à l’Homme  

L’Anses et l’Institut Friedrich-Loeffler (FLI), organisme fédéral allemand pour la recherche en santé et bien-être animale, ont signé un protocole d’accord mardi 12 octobre 2021, pour développer leur collaboration scientifique dans les domaines de la santé et du bien-être des animaux et des zoonoses, dans une approche « One Health » – Une seule santé.
Projet Marco : six années de recherches sur la mer en Côte d’Opale
plastique
13/10/2021

Projet Marco : six années de recherches sur la mer en Côte d’Opale

Après six années, le projet Marco (Recherches marines et littorales en Côte d’Opale : des milieux, aux ressources, aux usages et à la qualité des produits aquatiques) arrive à sa fin. À cette occasion, un colloque est organisé du 13 au 15 octobre à Boulogne-sur-Mer par les cinq établissements partenaires. Tour d’horizon des apports de ce projet, auquel l’Anses a contribué sur la qualité des produits de la mer, dont l’étude des microplastiques et de leur impact sur ces produits.
Réunion d'information et d'échanges sur Campylobacter
12/10/2021

Mardi 12 octobre 2021

Réunion d'information et d'échanges sur Campylobacter

En ligne
Public : oui
Évènement en ligne
Le laboratoire national de référence Campylobacter (Anses) et le Centre national de référence Campylobacter et Helicobacter (CHU de Bordeaux) organisent une réunion d’information et d’échanges, sous le patronage de la Société française de microbiologie, le 12 octobre 2021 de 13h30 à 17h30 . Cette réunion en ligne sera l’occasion de faire le point sur les derniers travaux et actualités sur cette bactérie ; la voie principale de transmission de Campylobacter à l’Homme est alimentaire, via des produits contaminés, y compris les eaux de boisson dont le traitement est défaillant.
Un guide spécifique pour évaluer les risques sanitaires des nanomatériaux dans l’alimentation
Laboratoires
11/10/2021

Un guide spécifique pour évaluer les risques sanitaires des nanomatériaux dans l’alimentation

Les nanomatériaux sont de plus en plus utilisés dans notre alimentation, notamment pour améliorer l’aspect d’un produit alimentaire, son conditionnement ou sa teneur nutritive. Toutefois, leurs impacts potentiels sur la santé soulèvent de nombreuses questions. C’est notamment le cas du dioxyde de titane utilisé comme additif alimentaire (E171), dont la sécurité d’emploi a été questionnée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et qui est en voie d’être interdit dans l’Union européenne à compter de 2022. Pour évaluer les risques que représentent les nanomatériaux dans l’alimentation, une méthode d’évaluation « nanospécifique » est essentielle. C’est l’objet du guide scientifique que publie l’Agence ce jour.

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